A partir du lundi 2 novembre, les entrées et sorties se feront aux horaires habituels mais nous sommes contraints à en changer les lieux :
 Les classes maternelles entreront et sortiront par le portail de la cour maternelle (face au parking, rue de la Pagnolée).
 Les classes de Mme Bondiguel, Mme Geffroy, Mme Branellec entreront et sortiront par le portail de la cour élémentaire (prendre le petit chemin derrière l’école qui relie la place des Drakkars à la halle des sports)
 Les classes de Mme Renouf et Mme Gémarin, M. Clergeaud, M. Savary et M. Vittoz entreront et sortiront par le hall de l’école, accès piéton place des Drakkars, en face de la médiathèque.
 Les sorties du midi se font au même endroit sauf pour les entrées élémentaires de 13h30 qui se font toutes par le portail (car la sieste des petits empêche l’accès par le hall).

Les récréations seront en horaires décalés et par zones que les enfants occuperont par roulement. Vos enfants ne pourront donc hélas pas jouer avec les enfants des autres classes, c’est ce que le ministre appelle « éviter le brassage des élèves ».

Aucun parent, y compris en maternelle, n’est autorisé à rentrer dans les locaux (sauf sur autorisation du directeur). Les enfants sont confiés aux enseignant-es à l’entrée de l’école.

Le port du masque est obligatoire dès le CP (il n’est pas question d’âge mais bien de niveau, les enfants de GS qui auront 6 ans dans l’année n’auront pas à porter le masque). Ce masque est fourni par les familles à raison de deux par jour. Il est demandé aux familles de prendre le temps nécessaire d’expliquer le port du masque aux enfants afin que celui-ci constitue une protection et non un risque supplémentaire (on ne touche pas son masque, on l’enlève par les élastiques, on le porte bien sur son nez, on ne joue pas avec, on ne le prête pas aux camarades).

Voici le protocole sanitaire adapté à l’école des Drakkars.

Le conseil d’école est reporté sine die.

Bon courage à toutes et tous, nous faisons le maximum pour accueillir vos enfants dans les meilleures conditions et dans une école publique qui se veut être, malgré tout, la plus émancipatrice possible pour les élèves.

Bastien Vittoz